Grand «tripotay» autour de la Pharmacie en Haïti
Lorsque, bien avant l’évévement de juillet dernier («Inauguration de la semaine d’exposition d’histoire de la pharmacie haïtienne»), le doyen m’a suggéré de faire une petite promenade historique, j’ai immédiatement frappé aux portes de deux bons vieux amis, descendants d’un illustre professeur de l’Ecole nationale de médecine et de pharmacie de l’époque 1918–22. Jusqu’à présent, aucune réponse! Certes, pendant 3 générations le nom de la famille a symbolisé la profession de pharmacien, mais comme tous les grands domaines de l’histoire haïtienne, la documentation sur la question constitue à la fois un défi et une provocation. Défi et provocation qui nous permettent de cerner les complexités de tout projet de conservation chez nous. Nous sommes hélas sortis du déchoukage événementiel (7 février 86) pour nous installer dans le déchoukage au quotidien !
Pourtant, en pensant aux efforts déployés pendant deux ans pour la concrétion de l’Exposition, je me suis permis d’affirmer qu’il faut continuer les «hostilités» (l’hostilité chez le doyen et sur le campus de la FMP englobe un package qui va du premier jet, en passant par la documentation exhaustive pour enfin oser présenter une intention de brouillon à l’autorité académique).
Gilbert Mervilus, 19 oct 2020
Voir aussi: Inauguration de la semaine d’exposition d’histoire de la pharmacie haïtienne https://gilbertmervilus.medium.com/inauguration-de-la-semaine-dexposition-d-histoire-de-la-pharmacie-ha%C3%AFtienne-b96efb2e679b
Imaginez:
A voix basse(sur Le Matin du 24 novembre 1921) :
