Le Lieutenant Général Derby Guerrier, le soldat de la dernière chance
En recevant pendant le week-end l’invitation pour participer aux cérémonies du jour, j’informai au secrétariat du Commandant en chef: soldat convalescent, mais non démissionnaire.
Comme me l’apprirent les généraux Merceron, Hilaire, Saint-Albin, Raymond, Hyppolite, expliquer avec clarté est aussi un art militaire!
Dès les premiers instants de novembre 2017, les collisions et collusions politiciennes faillirent emporter le délicat travail de reconstruction des FADH, pièce par pièce. Comme l’a si bien dit le lieutenant général Jodel Lessage, «à bâbord et à tribord» les défis prirent du biceps.
Pour ceux qui n’ont pas encore fait sa connaissance, le lieutenant général Derby Guerrier est celui qui s’attela magistralement, dès le mardi 27 mars 2018 (installation du Haut Commandement), à la reconstruction de deux bureaux essentiels au fonctionnement des FADH: le G-2 et le G-4. Dépoussiérer le deuxième bureau fut tâche complexe, car il fallait le faire selon les normes du XXIème siècle. Quant au quatrième bureau, au-delà de nos turpides, l’aguerri officier Derby Guerrier sut défendre la ration alimentaire des gendarmes et de leur famille, par devant la Hiérarchie majuscule.
En très peu de mots, comme me l’enseignèrent tant d’aînés fraternels, voilà la situation.
Talon!
Gilbert Mervilus, 20/8/2024