Sachons protéger nos ravines…
En grande conversation avec une amie religieuse, je lui promis un clin d’œil photographique autour de notre quartier, entre 1904 et «aujourd’hui». C’était en mai 2017. Entre-temps, beaucoup de situations ont évolué, surtout autour de nos ravines. En marge des définitions classiques (petit ravin; lit d’un torrent, d’un ruisseau), elles sont devenues le principal site de décharge dans ce qui nous reste capital. On y trouve de tout…
A l’École de l’ingénieur Philip Métayer
Série: Les travaux avancent à Débussy
De «ma» ravine à Débussy, j’observe et analyse onze ponts (Débussy, Canado, Villefranche, Malval, Marguerites, Saint-Louis vers Pont-Morin -La Pléïade- Pont Pradel, Duncombe, Avenue du Travail, Sacré-Coeur dos Babiole et le majestueux Pont-Morin).
J’aime observer les pylônes que fit construire Wolgang Wagner, après avoir perdu une petite partie de sa résidence, secteur de la ravine Marguerites vers Camille Léon.
En commençant à étudier le dimanche 6 octobre l’ossature métallique de la barrière destinée à la ravine de Débussy, le mot «écluse» s’est échappé de mes lèvres. Souvenir de mon lointain séjour panaméen et des fascinantes écluses du Canal.
Dans ce qui nous reste de capital et pour gérer efficacement les futurs curages, les équipes de l’ing. Métayer nous ont surpris.
Talon, face à ce bel ouvrage.
Gilbert Mervilus, 7 et 8 octobre 2024
