Delia Blanco

Un grand Bonjour à Delia Blanco et Azad Belfort

Don Gilberto

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Delia Blanco, écrivaine et intellectuelle dominicaine http://www.lenational.org/post_free.php?elif=1_CONTENUE%2Fculture&rebmun=4774&fbclid=IwAR2FOr4PniwGvC4CKGRpRg_d-jH_o5CvZlzeU2kH0_RPqXLWG_WYd9wlKA0

Pour celles et ceux de la fourchette 21–25 ans qui vont découvrir la merveilleuse conversation entre Madame Delia Blanco et Azad Belfort sur Le National, rappelons — en cette veille d’élections chez nos voisins — :

Azad Belfort au travail

La crise électorale dominicaine avait atteint un point acceptable pour les États-Unis avec la signature du Pacte pour la démocratie, promu par monseigneur Agripino Núñez Collado. Le 9 août 1994, le président Balaguer invita José Francisco Peña Gómez à une réunion à la Biblioteca Nacional. Le leader du PRD ( Peña Gómez) demanda au président d’autoriser l’entrée de Hatuey de Camps Jiménez, qui procéda à la lecture du document «tout ou rien». Au cours de la réunion, le verbe de Peña se réchauffa et le président s’exprima très lentement; sur son ton normal et légèrement tremblant, il demanda à Peña Gómez : pourquoi ne partageons-nous pas le gâteau? Peña interrogea cela signifie quoi? Et Balaguer fit une pause pour répondre: deux ans pour moi et deux ans pour vous»…

José Francisco Peña Gómez (6 Mars 1937–10 Mai 1998 )

Le visionnaire José Francisco Peña Gómez avait, antérieurement à ces sommets historiques, eu le temps de confier à sa grande amie Delia Blanco: «[…]muñeca voy a ganar las elecciones, pero no me van a dar el poder…»

Compliments à Azad Belfort, pour la réalisation de cette merveilleuse conversation, de grandes dimensions pédagogiques

Gilbert Mervilus, 4 juillet 2020

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